Un journal français dit la vérité !

Il m’a fallu me frotter les yeux.

Je n’y ai tout d’abord pas cru.

Et pourtant, si.

C’est un fait.

Incontestable.

Un journal français, Les Echos, a osé titrer hier… la vérité !!

“Le Covid-19 ne tue presque plus en Europe”, est-il écrit en caractère gras, noir sur blanc. [1]

La preuve ci-dessous :

Le journaliste, Yves Bourdillon, est-il fidèle lecteur ?

A-t-il reçu récemment un de mes messages ?

Ou a-t-il, tout simplement, regardé les chiffres officiels des décès ?

Son article est rempli de déclarations interdites :

• Au sujet de l’Italie, il écrit :

“le pays le plus endeuillé au monde n’enregistre plus que 250 cas (un millième du total) et sept décès par jour. Et ne compte plus que 38 patients en soins intensifs, chiffre en déclin régulier, cent fois moins élevé qu’au pic de début avril.”

• Au sujet de l’Allemagne :

“L’Allemagne tout en contrôle… le Covid ne tue presque plus”

• Au sujet de l’Espagne, prétendument frappée par une énorme “seconde vague” :

“Le pays continue de n’enregistrer que 7 morts par jour et le nombre de personnes en réanimation en Catalogne, qui concentre la moitié des cas graves, n’a augmenté que de cinq unités en deux semaines, à 105 au total.”

• Au sujet de la Belgique :

“la mortalité, stable depuis un mois à 2,5 morts par jour. Le Belgique ne compte plus que 265 patients hospitalisés, exactement comme fin juin, dont 63 en soins intensifs.”

• Au sujet de l’Angleterre :

“Le nombre de patients hospitalisés continue son déclin régulier, à 1.150 personnes aujourd’hui, deux fois moins qu’il y a un mois. Et vingt fois plus bas qu’au pic de mi-avril. Et si le Covid-19 tue toujours cinq fois plus que dans le reste de l’Europe, en proportion de la population, sa létalité affiche toutefois un déclin régulier, deux fois plus basse que fin juin.”

Ce journaliste ne donne aucune explication sur l’hystérie de ses collègues, ni sur l’empressement des politiques à imposer des contraintes disproportionnées aux populations. Il ne s’étonne pas, non plus, d’être le seul (dans les grands médias) à dire des évidences, et ne parle (évidemment) pas des petites lettres d’informations semi-clandestines comme Santé Nature Innovation qui, depuis le début de l’épidémie, cherchent à tempérer le discours alarmiste.

Néanmoins, son effort mérite d’être remarqué, salué, et j’ose lui dire :

“Merci, bravo et, s’il-vous-plaît, continuez !”

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis