Si vous ne connaissez pas Chuck Norris, l’acteur incontournable des films d’action, voici ce que l’on dit de lui :
« Quand Chuck Norris s’est mis au judo, David Douillet s’est mis aux pièces jaunes. »
« Chuck Norris donne fréquemment du sang à la Croix-Rouge. Mais jamais le sien. »
Vous l’avez compris, quand Chuck Norris est dans un film, les méchants n’ont qu’à bien se tenir. Sa réplique la plus célèbre, un peu vulgaire certes, mais tellement drôle : « Je mets les pieds où je veux et c’est souvent dans la gueule. »
Aujourd’hui, il est engagé dans le combat le plus dur de sa vie : il a arrêté sa carrière pour sauver sa femme, Gena.
Il y a quatre ans, Gena était une ex-top model. À 54 ans, elle était en parfaite santé. Et, comme des milliers de personnes chaque jour, elle a passé une IRM. Comme ça se fait souvent, on lui a injecté un produit de contraste nommé « gadolinium ».
Vous le savez sûrement, l’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) est une technique qui permet d’observer chaque organe du corps. Le fait d’injecter un produit de contraste permet d’améliorer la qualité de l’image.
Ce que vous ne savez probablement pas, c’est que le gadolinium est très dangereux.
Gena Norris, lors d’une interview pour le magazine Good Health, a raconté ce qu’elle avait subi juste après son injection :
« La première fois, pendant plusieurs heures, j’ai eu l’impression que mon corps était en feu, comme si de l’acide s’y répandait. Et ça n’a fait que s’étendre.
Je suis restée au lit avec une intraveineuse pendant cinq mois, avec une infirmière qui me surveillait 24 h/24. (…)
Cela a eu d’horribles répercussions sur mon cerveau : je ne pouvais plus penser, je n’arrivais plus à articuler, j’avais des trous de mémoire, ainsi que des douleurs musculaires. »
Chuck Norris a dit à ce moment-là : « Elle est en train de mourir juste sous mes yeux. »
On imagine facilement la scène atroce.
Aujourd’hui encore, elle souffre de troubles nerveux et de problèmes de reins.
Le couple a déposé une plainte contre onze laboratoires impliqués dans la fabrication des produits de contraste. Il s’est fait le porte-parole d’une association des nombreuses victimes du gadolinium.
Le combat est crucial, car on peut venir pour une simple IRM en tant que personne bien portante et repartir avec le corps en feu et handicapé à vie.
Il faut se renseigner avant de faire une IRM. À cause d’injections de gadolinium, certains patients sont diagnostiqués malades de Lyme ou de Charcot. Pire encore : le gadolinium peut déclencher une fibrose du système néphrogénique. Une maladie qui rend la peau dure comme du bois, provoquant une paralysie.
Heureusement, en Europe, nous sommes mieux protégés que la plupart des autres pays. En mars 2017, les autorités de santé de l’Union européenne ont recommandé la suspension des quatre produits de contraste ayant la plus grosse teneur en gadolinium.
Malheureusement, tous les produits de contraste n’ont pas disparu.
Avant de passer une IRM, posez à votre médecin ces questions :
Si vous avez passé une IRM et que vous souffrez à présent de symptômes mystérieux, demandez à votre médecin de faire des analyses pour vérifier que vous n’avez plus de gadolinium dans le sang.
Comme je vous le disais plus haut dans cette lettre, Gena Norris souffre encore de graves complications suite à cette IRM. Elle suit aujourd’hui une « thérapie de chélation ». Une médication mise au point dans les années 1920 qui consiste à injecter par intraveineuse une solution acide au patient, à raison de 20 à 40 séances.
J’espère qu’elle va finir par trouver la solution pour se débarrasser de ce gadolinium, et qui permettra aux autres patients de retrouver la santé…
… et à Chuck Norris de retrouver le grand écran.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
IRM : est-ce dangereux pour la santé ?
Produits de contraste contenant du gadolinium
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Pour ce qui me concerne, lors d’un IRM cardiaque, en janvier 2011, on m’a injecté du GADOVIST. A la fin de L’IRM, j’ai été envahi par une montée de sensation de chaleur et suis devenu tout rouge. Ils ont immédiatement procédé à une piqûre de cortisone. Maux de tête incroyable et cœur à 120/mn toute la journée. Le lendemain matin au réveil, j’étais violet. Je suis parti direct à la pharmacie à l’ouverture et le pharmacien au vu de mon état était affolé. Il m’a vite donné des antihistaminique et corticoïdes. Je suis allé chez le médecin à l’ouverture ,… Lire la suite »
Suite à lecture des “sources” citées plus haut dans l’article de Jean-Marc DUPUIS, je sais maintenant que le DOTAREM produit dit “macrocyclique” n’est pas concerné par la suspension de mars 2017 des produits dits “linéaires”. Néanmoins, je me pose encore la question : l’acide gadotérique contient t-il du gadolinium, si oui à quelle dose ? Curieusement tous les produits (Omniscan, Optimark, Magnévist, Multihance, Prohance, Gadovist, Dotarem) ont des agents dont les noms commencent par le même préfixe “GADO” : gadodiamine, gadoversétamide, gadopentate, acide gadobénique, gadotéridol, gadobutrol, acide gadotérique. Sont-ce bien des dérivés de gadolinium ? Puisqu’on sait que le gadolinium… Lire la suite »
Mon fils doit passer une IRM le 07/12 prochain pour vérifier l’étendue d’une Leuco-Encéphalite Multifocale Progressive datant de mai 2017 et pour laquelle mon fils a déjà passé 2 IRM. A l’époque je n’avais pas vos informations . L’examen nécessite une injection de DOTAREM (1 seringue pré-remplie de 15ml (CIP 34009 279 469 4 3). J’ignore ce que signifie ce code CIP. Forte de la lecture de l’article sur “les examens de routine” j’ai vérifié ce qu’était le DOTAREM. C’est de l’acide gadotérique, soit du gadolinium. Y aurait-il des stocks à écouler ?… Puis-je refuser l’injection ? Quel substitut ?… Lire la suite »
Bonjour. J’ai du subir un IRM fin 2009. Il m’avait été injecté du “gadovist” (si je ne me souviens bien). Je n’ai pas été bien pendant les 3 jours suivants, surtout au niveau cérébral. Je souhaiterais savoir la composition chimique de ce produit et du gadolinium … contiennent-ils des éléments radioactifs? métaux? opaques aux électrons? aux rayons radioactifs? Cet examen était inutile dans mon cas! (Par ailleurs, j’avais été impacté pendant 8 ans par des antennes de tél. mobile) il a fallu vendre la maison et vivre en zone moins contaminée par les ondes! Un grand merci par avance à… Lire la suite »
Bonjour
j’ai subi une IRM en 2004 qui a constaté un problème sur le rein gauche.
Il s’est avéré que j’avais un cancer du rein et j’ai subi une néphrectomie.
Personne n’avait rien vu auparavant et je considère que j’ai été sauvé par cette ablation;
mon rein étant pris par ce cancer à 90 % selon le chirurgien. Je n’ai eu besoin d’aucun
autre traitement après cette opération.. Cette IRM m’a été salutaire.
Tous les cas ne sont pas identique…
On ne peut pas faire une généralité d’un cas particulier…
Par ailleurs, pour 1 personne “sauvée”, combien vont voir leur santé altérée ?
D’après ce que j’ai compris, SNI ne milite pas pour l’arrêt des IRM, mais pour plus de transparence d’une part, et peut-être des solutions alternatives d’autre part.
Je trouve l’encart sur”restez seduisante blablabla” racoleur,pas dans la ligne de SNI, et selon moi,qui transmets souvent vis articles a des amis pour vous faire connaître,il ne donne pas une idée très valorisante de votre site
Cordialement