La maladie de Parkinson est une maladie qui touche la coordination des mouvements. En effet, ce sont des neurones présente dans une partie précise du cerveau appelée “substance noire”, qui dégénèrent. C’est à dire que ces neurones se détériorent progressivement sous l’influence de facteurs extérieurs et intérieurs à l’individu. Le mode de vie de la personne atteinte par Parkinson, leur alimentation, leur mode de socialisation sont des facteurs qui influencent beaucoup l’apparition et le développement de la maladie.
Comment apparaît la maladie de Parkinson ?
La maladie de Parkinson est caractérisée par une dégénérescence neuronale, c’est tout le corps qui va écoper des suites de cette dégradation. Progressivement, toutes les fonctions motrices de base vont demander de plus en plus de difficulté au patient. Au niveau de la motricité, il aura des raideurs dans les jambes, ce qui l’empêchera de marcher rapidement. Ses mains tremblent, et il présente des maladresses liées au non contrôle de ses mouvements. L’absence totale de réaction motrice qui paralysent les personnes atteintes de Parkinson, provoquent des problèmes de paralysie faciale, mais aussi des problèmes de salivation et de digestion. La personne est bloquée pour faire les petits gestes du quotidien, à cause d’une raideur des muscles appelée hypotonie. Lacer une chaussure, découper et manger un poulet, ces gestes anodins deviennent de véritables calvaires.
Quels sont les traitements de la maladie de Parkinson ?
Les traitements actuels qui existent sur le marché de la pharmacopée sont au sens propre du thème, palliatifs. Ils ne traitent pas le mal à la racine, comme le feraient des antibiotiques en tuant les bactéries responsables d’une infection. Les deux principaux traitements contre Parkinson qui sont actuellement proposés sur le marchés, les agonistes dopaminergiques et la L-Dopa ou lévodopa, sont des molécules qui agissent sur le taux de dopamine de l’individu. La dopamine est un neurotransmetteur qui fonctionne comme une récompense, et joue dans la sensation de plaisirs abstraits, comme la musique. La dopamine est un précurseur de l’adrénaline, qui favorise la prise de risques et les sensations fortes. Enfin, la dopamine entre en jeu dans le contrôle du mouvement, en équilibre avec acétylcholine.
Les cellules de la substance noire produisent de la dopamnie : leur dégénérescence provoque une baisse du taux de dopamine dans l’organisme de l’individu atteint de Parkinson. Les traitements actuels contre Parkinson font augmenter artificiellement le taux de dopamine dans l’organisme de l’individu. Ces médicaments, qui permettent une amélioration provisoire des capacités motrices de l’individu, ont des effets secondaires parfois dévastateurs.
Des recherches sont en cours pour développer de nouveaux médicaments. Le programme DHUNE à Marseille tente de voir l’impact de la réduction du taux de fer dans l’organisme. Ces remèdes sont évidemment des tentatives de réduire les effets à court terme de la maladie, sans traiter le mal à la racine.
Que peut apporter la santé naturelle pour soigner la maladie de Parkinson ?
Les médecines naturelles s’intéressent beaucoup aux causes neuronales, hormonales, et psychosomatiques des maladies, en les reliant à des causes du quotidiens, et au passé génétique ou physiologique des individus. Ce que la santé alternative peut faire pour la maladie de Parkinson, c’est avant tout prévenir l’apparition de la maladie, en donnant aux patients les bonnes habitudes, et l’hygiène de vie qui les préviendra des principales formes de dégénérescences. Puis, lors de l’apparition de la maladie, la médecine naturelle donne au patient et à ses proches les moyens de ne pas s’oublier dans la maladie. L’essentiel est dans l’attitude que l’on a face à l’adversité. En jouant sur le taux de dopamine, la maladie de Parkinson influence beaucoup le moral des malades : ils ont tendances à l’isolement, la dépression, ils broient du noir. C’est pour cela qu’il faut veiller à ce que le malade de Parkinson ne soit pas dans l’isolement, ni dans le repli sur soi.
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