Le camping-car trônait, rutilant, devant la petite maison.
Il revenait tout juste du contrôle technique.
Le réservoir de gazole était rempli à ras bord. La glacière était pleine de victuailles appétissantes.
Michel avait étudié à fond la carte de l’Europe. Depuis cinq ans, il optimisait son itinéraire et déjà il se voyait à Athènes, sur l’Acropole, en canoé dans les fjords de Scandinavie, allongé à l’ombre des orangers d’Andalousie, sirotant une sangria pétillante et glacée.
Sa femme était installée sur le siège du passager. Toutes les valises étaient prêtes. Tous ses papiers étaient en règle, en particulier les dossiers compliqués qu’il avait dû remplir pour obtenir ses droits à une retraite bien méritée, après 40 ans d’une carrière qui n’avait pas toujours été drôle dans une grande entreprise.
L’heure du grand départ avait enfin sonné.
Michel monte à bord du camping-car, met la clé sur le contact, pose le pied sur l’embrayage et c’est alors que…
Patatras. Michel se penche en avant, pose la main sur sa poitrine, pousse un faible cri et s’écroule sur le volant, foudroyé par l’infarctus.
La scène n’avait duré que quelques secondes.
Le beau rêve de Michel et de sa femme se termina ce jour-là, aux urgences du CHU de Niort. Malgré l’arrivée rapide des secours, aucune intervention ne put le sauver. Comme 95 % des victimes d’un arrêt cardiaque, Michel n’a pas survécu.
Chaque année, des milliers de Français meurent d’un arrêt cardiaque peu après avoir pris leur retraite.
Après avoir travaillé et épargné toute leur vie, ces personnes (autant d’hommes que de femmes) disparaissent brutalement sans avoir pu profiter des fruits de leur travail. Elles laissent derrière elles leur conjoint désemparé, leurs enfants et leurs petits-enfants abasourdis par une disparition brutale, tragique et injuste.
Injuste, oui, car ce fléau devrait aujourd’hui être évité.
Les cardiologues à la pointe de la recherche estiment qu’il serait possible de réduire à presque zéro [1] le risque de maladie cardiaque grâce à des solutions naturelles et accessibles à tous.
Presque zéro, cela paraît incroyable. Et pourtant, il s’agit d’une donnée scientifique validée par de grands chercheurs, publiée et republiée ces dernières années dans des revues telles que le British Medical Journal ou The Lancet, les références mondiales dans le domaine de la médecine.
Des centaines de milliers de vie pourraient être sauvées.
C’est une question de temps passé à l’extérieur, au soleil, à faire de l’exercice physique, et surtout une question d’alimentation.
L’alimentation idéale contre les maladies du cœur est la diète méditerranéenne. À base de légumes, poisson, olives, huile d’olive, légumineuses (haricots, lentilles), céréales complètes, fromage de chèvre, fruits à coque et fruits secs, herbes aromatiques et ail. Elle contient peu de produits céréaliers raffinés, peu de sucre, peu de produits laitiers. Les boissons sont le café et le thé (dans les pays arabes) et le vin rouge en Grèce, Sicile, en Italie et en Espagne.
Elle est riche en antioxydants, dans les boissons (vin rouge, thé, café) et dans les légumes colorés. Elle est riche en acides gras oméga-3 présents dans les anchois et sardines, et en acides gras monoinsaturés (oméga-9) dans l’huile d’olive. Elle est enfin, il faut le reconnaître parce que c’est important, sobre. Les repas ne sont pas pantagruéliques.
Les effets de la diète méditerranéenne sont spectaculaires. Si vous avez déjà été victime d’un accident cardiovasculaire (infarctus ou AVC), cette diète réduirait le risque de récidive de 50 à 70 % selon les scientifiques ayant publié les résultats de cette une étude très rigoureuse [2].
Cependant, selon les organisateurs de l’étude, ce résultat pourrait être fortement amélioré jusqu’à atteindre près de zéro pour cent de récidive, en incluant une revue globale du mode de vie.
Dans l’étude citée ci-dessus, les participants n’avaient que des efforts assez minimes à faire du point de vue alimentaire et pratiquement aucun du point de vue de l’exercice et de l’exposition au soleil.
S’ils avaient également fait du sport et pris plus de soleil pour augmenter leur taux de vitamine D, ils auraient très probablement encore réduit le taux de mortalité.
Les études scientifiques montrent en outre que des actifs naturels contribuent à lutter encore contre les maladies cardiovasculaires et à augmenter le nombre d’années de vie en bonne santé.
Il s’agit de l’allicine, un composé organo-sulfuré présent dans l’ail et les plantes de la même famille (oignon, ciboulette, poireau, échalote), de la carnitine, un acide aminé qui renforce le muscle du cœur (le myocarde), et de la CoQ10, un « super-antioxydant » qui protège les artères.
Voici comment.
L’ail est utilisé pour ses vertus depuis l’Antiquité. Les études montrent qu’il aurait l’étonnante capacité d’agir sur les six principaux risques de maladies cardiovasculaires.
L’ail est riche en allicine, un composé naturel hautement actif. Il contient aussi des glycosides, des lectines, des prostaglandines, des vitamines B et E, des anthocyanines et des flavonoïdes qui peuvent également présenter des effets bénéfiques pour la santé [3].
L’ail est aujourd’hui l’une des plantes les plus étudiées. Près de 5000 articles scientifiques décrivent son action contre le cancer et les infections. Mais ses effets contre les maladies cardiovasculaires sont particulièrement remarquables :
Les maladies du cœur et des artères reposent sur des mécanismes multiples et complexes. L’allicine présente dans l’ail aurait la faculté unique de lutter simultanément contre ces différents mécanismes, ce qui en fait un nutriment cardioprotecteur très intéressant.
Pour compléter les effets de l’allicine, vous pouvez y associer deux autres merveilles de la nature dont les bienfaits sur la santé cardiovasculaire ont été prouvés scientifiquement. Il s’agit de la carnitine qui renforce votre muscle cardiaque et de la coenzyme Q10 qui protège vos artères de l’oxydation.
Votre cœur est votre plus gros muscle. Chaque jour, il bat 100 000 fois (en moyenne trois milliards de fois au cours d’une vie) et pompe 7000 litres de sang pour irriguer votre système vasculaire long de 1,5 kilomètre. Le sang transporte l’oxygène qui permet à vos cellules de respirer. Si elles ne reçoivent pas suffisamment d’oxygène, elles étouffent et meurent plus rapidement, ce qui accélère le vieillissement et le développement des maladies qui y sont liées.
Pour réaliser ce travail de titan, votre muscle cardiaque, appelé myocarde, a besoin d’une grande quantité d’énergie. Cette énergie lui est fournie en partie grâce à la L-carnitine, un acide aminé qui permet le transport des acides gras (du carburant énergétique) à l’intérieur des mitochondries, les « usines énergétiques » que nous avons à l’intérieur de chacune de nos cellules [24].
Une méta-analyse regroupant 13 études cliniques menées entre 1984 et 2007 pour un total de 3629 patients a été publiée en 2013 [25]. Les auteurs ont montré qu’une supplémentation en carnitine chez des patients ayant connu un premier infarctus du myocarde permet de diminuer de 27 % la mortalité globale (due à un accident cardiovasculaire ou autre). Plus spécifiquement, la carnitine est associée à une diminution de 65 % des arythmies ventriculaires et de 40 % des attaques cardiaques.
Deux études cliniques publiées en 2014 et 2015 ont montré qu’une supplémentation orale en carnitine à une dose de 1000 mg/jour pendant 12 semaines chez des personnes présentant un risque cardiaque permet de réduire les marqueurs du stress oxydant et de l’inflammation. Ces résultats montrent le rôle bénéfique de la carnitine pour lutter contre la récidive d’un accident cardiaque ou l’aggravation d’une maladie cardiovasculaire [26] [27].
En plus d’agir sur les six principaux facteurs de risque cardiovasculaire grâce à l’ail et de renforcer votre muscle cardiaque grâce à la carnitine, les cardiologues recommandent de protéger vos artères contre l’apparition de la plaque artérielle. Là encore, la nature apporte la solution grâce à un troisième nutriment extraordinaire : la coenzyme Q10, un puissant antioxydant et anti-inflammatoire naturel.
D’après certains chercheurs, l’apparition de la plaque artérielle est une réaction d’autodéfense de votre corps face à des dommages causés dans vos artères par des substances oxydantes et inflammatoires. La paroi intérieure de vos artères est normalement protégée par une fine pellicule qui permet au sang de couler sans s’accrocher, exactement comme de l’eau sur les feuilles des arbres : des gouttelettes peuvent se former à la surface, mais elles finissent par ruisseler, sans laisser de traces.
Le problème apparaît lorsque votre sang contient des radicaux libres, des molécules carnivores qui rongent les parois de vos artères comme l’oxygène rouille une barre de fer humide.
Nous sommes tous exposés aux radicaux libres car ils proviennent de l’environnement (gaz d’échappement, fumée de cigarette, polluants), de la mauvaise alimentation, et des déchets naturels dus à la production d’énergie par vos cellules.
Heureusement, il existe dans la nature des substances naturelles capables de les détruire : ce sont les antioxydants. Dès qu’ils sont mis en contact avec les radicaux libres, ils transforment ces molécules carnivores en des corps inoffensifs qui glissent dans le flux sanguin sans plus chercher à griffer ni à faire des trous.
La coenzyme Q10, ou « CoQ10 » est l’un des antioxydants les plus puissants. Tous nos organes vitaux, et en particulier notre cœur, ont besoin d’un apport continu en CoQ10 pour fonctionner. Quand vous êtes jeune, en bonne santé et plein de vie, votre foie fabrique suffisamment de CoQ10 pour fournir la puissance à votre cœur et pour contrer les radicaux libres.
Le problème est qu’à votre 50e anniversaire, vous produisez 25 % de CoQ10 en moins qu’à 20 ans (à 80 ans, la diminution peut atteindre 65 %), ce qui explique pourquoi il est si important de se supplémenter en CoQ10.
Cela est plus vrai encore pour les personnes qui prennent des statines (médicaments anticholestérol). En effet, les statines bloquent la production de CoQ10 en même temps qu’elles bloquent la production de cholestérol [28]. Cela aboutit à une baisse du niveau de CoQ10 dans les mitochondries et donc à une plus grande vulnérabilité aux radicaux libres. Prendre de la CoQ10 pourrait donc être crucial pour les personnes sous statines, à tel point que des médecins aux Etats-Unis militent depuis 10 ans pour que la prise de CoQ10 devienne obligatoire avec les statines [29] !
La prise de CoQ10 pourrait faire une différence pour les personnes qui prennent des statines, mais aussi pour toutes celles qui se préoccupent du vieillissement de leur cœur et de leurs artères.
De petites quantités d’allicine, de carnitine et de coenzyme Q10 peuvent être obtenues grâce à votre alimentation. Toutefois l’alimentation seule ne permet pas d’obtenir les quantités recommandées par les études scientifiques de référence. L’autre problème est que selon votre âge et votre état de santé global, vous allez plus ou moins bien absorber les nutriments issus de votre alimentation.
C’est pourquoi de plus en plus de nutritionnistes conseillent de compléter notre alimentation avec des compléments nutritionnels, en vérifiant bien que les dosages proposés sont suffisants.
En Allemagne, la Commission E allemande qui valide l’efficacité des plantes médicinales recommande la consommation quotidienne de 4 g d’ail frais, afin d’obtenir chaque jour au moins 10 mg d’allicine, la dose minimale nécessaire pour bénéficier des effets cardioprotecteurs de l’ail.
Si vous ne consommez pas chaque jour 4 g d’ail frais (très peu le font), vous pouvez compléter vos apports alimentaires avec de l’ail sous la forme d’un supplément nutritionnel d’au moins 10 mg d’allicine par jour, comme le recommande l’American Heart Association.
La consommation de viande rouge permet d’obtenir une petite quantité de carnitine. On estime qu’une alimentation normale en apporte entre 20 et 200 mg par jour. Mais c’est la prise d’un supplément nutritionnel d’au moins 1000 mg de carnitine (1 g) qui a montré des effets positifs sur la santé de personnes ayant déjà souffert d’un infarctus du myocarde. Elle permet aussi de réduire la consommation de viande rouge, récemment mise en cause car potentiellement cancérigène (surtout la viande d’élevage industriel).
Concernant la coenzyme Q10, vous en obtenez dans les viandes rouges et le poisson ainsi que dans certaines huiles végétales et les noix. Le problème est que dès 40 ans en moyenne, nous commençons à perdre progressivement jusqu’à 65 % de notre capacité à synthétiser et à absorber la coenzyme Q10 [30]. Le but d’une supplémentation nutritionnelle en coenzyme Q10 est donc de combler ce déficit et d’éviter ses conséquences sur la santé de votre cœur. Concernant les doses, il est conseillé de prendre 100 à 150 mg de CoQ10 par jour. Il vaut mieux prendre votre supplément de coenzyme Q10 au cours d’un repas contenant des lipides, la CoQ10 étant mieux absorbée en présence d’huile ou de graisse.
Pris sous la forme de compléments alimentaires, l’ail, la carnitine et la coenzyme Q10 ne présentent pas d’effet secondaire connu, même à forte dose. Il n’y a donc pas de risque lié à la supplémentation.
Toutefois, si vous êtes déjà suivi pour une maladie cardiovasculaire, je vous recommande de demander conseil à votre médecin avant de modifier votre traitement actuel.
L’ail, la carnitine et la coenzyme Q10, lorsqu’ils sont pris aux doses recommandées par les études scientifiques, ne sont pas des placebos ! Ils ont une action concrète et rapide sur votre santé cardiovasculaire. Si vous êtes sous traitement, vous devez vous assurer de bien concilier celui-ci avec la prise de ces ingrédients actifs.
Ces trois ingrédients cardioprotecteurs peuvent être pris séparément mais ils ont démontré une plus grande efficacité lorsqu’ils sont pris ensemble. Chacun exerce des bienfaits spécifiques et complémentaires pour votre cœur et vos artères :
L’apport conjoint de carnitine et de CoQ10 permet de mieux lutter contre les défaillances cardiaques.
En 2007 une étude a été menée sur 64 patients souffrant de problèmes cardiaques pour étudier l’effet conjoint de CoQ10 et de carnitine pendant 12 semaines. Les auteurs ont montré que cette supplémentation avait un effet anti-inflammatoire et antioxydant. Ils ont également montré que la supplémentation permet d’améliorer la qualité de vie (fatigue, palpitations, capacités physiques) et le rythme cardiaque [32].
En 2012 une étude clinique menée sur 65 personnes (âge moyen de 55 ans) a montré que la supplémentation avec un extrait d’ail (1200 mg/jour) et de la CoQ10 (120 mg/jour) pendant un an permet de diminuer les marqueurs de l’inflammation et de réduire la progression de l’athérosclérose [33].
Lorsque vous associez ces trois actifs à un mode de vie sain, vous mettez toutes les chances de votre côté contre une menace aussi fatale qu’inutile. Pour rappel, aujourd’hui en France, une personne sur quatre meurt brutalement d’une maladie du cœur et des artères alors que les études démontrent que toutes ces vies, dont peut-être un jour la vôtre ou celle de l’un de vos proches, pourraient être épargnées. Si vous souffrez déjà d’une maladie cardiovasculaire ou si vous avez déjà subi un infarctus ou un AVC, ces actifs peuvent agir sur l’aggravation et la récidive.
Mais les bienfaits d’un cœur en meilleure santé ne s’arrêtent pas là. Ils se ressentent dans tous les aspects de votre vie au quotidien.
Votre cœur irrigue tout votre corps en transportant l’oxygène et les nutriments dont chaque cellule de chaque organe a besoin.
Quand votre cœur est plus fort, votre énergie physique augmente : vous avez plus de souffle, plus d’endurance et plus de force. Vous vous sentez moins fatigué. Ce qui vous demandait un effort physique vous paraît plus facile : vous pouvez à nouveau monter les escaliers sans avoir le souffle coupé, vous n’êtes plus à la traîne lorsque vous partez vous promener en famille ou avec des amis. Petit à petit, vous retrouvez plaisir à bouger et à réaliser des activités qui demandent un effort physique, comme si vous vous sentiez plus léger et plus jeune. Vous avez également plus d’énergie pour résister à la maladie. Si vous êtes sportif, vos performances s’améliorent car votre cœur soutient mieux les efforts produits par vos muscles et votre système respiratoire. Vous récupérez plus facilement.
Le même phénomène se produit au niveau de votre cerveau qui a besoin d’être bien irrigué pour fonctionner au maximum de ses capacités. Votre attention et votre concentration s’améliorent. Vous êtes capable d’analyser plus vite et plus finement les problèmes que vous devez résoudre. Vos pensées sont plus claires, votre moral est meilleur, votre stress diminue.
De nombreux laboratoires proposent ces actifs naturels sur Internet ou en pharmacie. Toutefois, peu de formulations respectent les doses recommandées par les études de référence. C’est pourtant une condition fondamentale pour obtenir des résultats et ne pas gaspiller votre argent.
Deux laboratoires proposent des produits de grande qualité.
Le premier est le laboratoire Nutrixeal qui propose chacun de ces trois actifs séparément. Vous pouvez donc choisir de prendre soit leur complément alimentaire d’ail, soit leur complément de carnitine, soit leur complément de CoQ10, soit une combinaison des trois.
Chacun de ces produits est bien dosé au regard des recommandations faites par les études de référence.
L’autre solution est un produit 3 en 1, le Cardio-Balance actuellement en promotion.
Elle vous apporte chaque jour les dosages recommandés en allicine (le principe actif de l’ail, 1200 mg titré à 1 %, soit 12 mg), en carnitine (1200 mg) et en CoQ10 (120 mg).
Dernière information importante, l’action de ces nutriments contre l’inflammation, l’oxydation et pour améliorer le métabolisme auront des bénéfices sur votre santé cardiovasculaire et votre énergie. Mais notez également que ces mécanismes influencent aussi grandement d’autres fonctions vitales de votre organisme. Ces actifs auront donc indirectement d’autres bienfaits contre des maladies liées à l’inflammation et à l’oxydation : arthrose, Alzheimer, cancers, diabète.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
[1] C’est l’opinion en particulier du Dr Michel de Lorgeril, coauteur de l’Etude de Lyon sur le cœur et spécialiste de la diète méditerranéenne.
[2] Étude de Lyon (Lyon Diet Heart Study)
[3] H. Amagase et al., « Intake of Garlic and Its Bioactive Components », The Journal of Nutrition 131, no 3s (mars 2001): 955S – 62S.
[4] A. N. Orekhov et J. Grünwald, « Effects of Garlic on Atherosclerosis », Nutrition (Burbank, Los Angeles County, Calif.) 13, no 7-8 (août 1997): 656-63.
[5] Tao Zeng et al., « A Meta-Analysis of Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Trials for the Effects of Garlic on Serum Lipid Profiles », Journal of the Science of Food and Agriculture 92, no 9 (juillet 2012): 1892-1902,
[6] Kurt M. Reinhart et al., « The Impact of Garlic on Lipid Parameters: A Systematic Review and Meta-Analysis », Nutrition Research Reviews 22, no 1 (juin 2009): 39-48.
[7] Suguru Matsumoto et al., « Aged Garlic Extract Reduces Low Attenuation Plaque in Coronary Arteries of Patients with Metabolic Syndrome in a Prospective Randomized Double-Blind Study », The Journal of Nutrition, 13 janvier 2016,
[8] A. Hosseini et H. Hosseinzadeh, « A Review on the Effects of Allium Sativum (Garlic) in Metabolic Syndrome », Journal of Endocrinological Investigation 38, no 11 (novembre 2015): 1147-57,
[9] P. Holvoet, « Oxidative Modification of Low-Density Lipoproteins in Atherothrombosis », Acta Cardiologica 53, no 5 (1998): 253-60.
[10] Anjali D. Deshpande, Marcie Harris-Hayes, et Mario Schootman, « Epidemiology of Diabetes and Diabetes-Related Complications », Physical Therapy 88, no 11 (novembre 2008): 1254-64,
[11] Li-Qiong Hou, Yun-Hui Liu, et Yi-Yi Zhang, « Garlic Intake Lowers Fasting Blood Glucose: Meta-Analysis of Randomized Controlled Trials », Asia Pacific Journal of Clinical Nutrition 24, no 4 (2015): 575-82.
[12] Martha Thomson et al., « Anti-diabetic and hypolipidaemic properties of garlic (Allium sativum) in streptozotocin-induced diabetic rats », Int J Diabetes & Metabolism 15 (2007): 108-15.
[13] K. T. Augusti et C. G. Sheela, « Antiperoxide Effect of S-Allyl Cysteine Sulfoxide, an Insulin Secretagogue, in Diabetic Rats », Experientia 52, no 2 (15 février 1996): 115-20.
[14] Sateesh Belemkar, Kalpesh Dhameliya, et Muslim K. Pata, « Comparative study of garlic species (Allium sativum and Allium porrum) on glucose uptake in diabetic rats », Journal of Taibah University Medical Sciences 8, no 2 (2013): 80-85.
[15] A. A. Albajali et al., « Effect of Allium sativa L. on pancreatic. cells in comparison to Nigella sativa L. in streptozotocin induced diabetic rats », Journal of Medicinal Plants Research 5, no 24 (2011): 5779-84.
[16] Matthew J. Budoff et al., « Inhibiting progression of coronary calcification using Aged Garlic Extract in patients receiving statin therapy: a preliminary study », Preventive medicine 39, no 5 (2004): 985-91.
[17] Khalid Rahman et David Billington, « Dietary supplementation with aged garlic extract inhibits ADP-induced platelet aggregation in humans », The Journal of nutrition 130, no 11 (2000): 2662-65.
[18] M. Steiner et W. Li, « Aged Garlic Extract, a Modulator of Cardiovascular Risk Factors: A Dose-Finding Study on the Effects of AGE on Platelet Functions », The Journal of Nutrition 131, no 3s (mars 2001): 980S – 4S.
[19] T. P. Zwaka, V. Hombach, et J. Torzewski, « C-Reactive Protein-Mediated Low Density Lipoprotein Uptake by Macrophages: Implications for Atherosclerosis », Circulation 103, no 9 (6 mars 2001): 1194-97.
[20] P. M. Ridker et al., « C-Reactive Protein and Other Markers of Inflammation in the Prediction of Cardiovascular Disease in Women », The New England Journal of Medicine 342, no 12 (23 mars 2000): 836-43,
[21] Irfan Zeb et al., « Aged Garlic Extract and Coenzyme Q10 Have Favorable Effect on Inflammatory Markers and Coronary Atherosclerosis Progression: A Randomized Clinical Trial », Journal of Cardiovascular Disease Research 3, no 3 (juillet 2012): 185-90,
[22] Carlene M. M. Lawes et al., « Global Burden of Blood-Pressure-Related Disease, 2001 », Lancet (London, England) 371, no 9623 (3 mai 2008): 1513-18,
[23] Karin Ried, « Garlic Lowers Blood Pressure in Hypertensive Individuals, Regulates Serum Cholesterol, and Stimulates Immunity: An Updated Meta-Analysis and Review », The Journal of Nutrition, 13 janvier 2016.
[24] Judith L. Flanagan et al., « Role of carnitine in disease », Nutrition & metabolism 7, no 1 (2010): 1.
[25] James J. DiNicolantonio et al., « L-Carnitine in the Secondary Prevention of Cardiovascular Disease: Systematic Review and Meta-Analysis », Mayo Clinic Proceedings 88, no 6 (juin 2013): 544-51,
[26] Bor-Jen Lee et al., « Effects of L-Carnitine Supplementation on Oxidative Stress and Antioxidant Enzymes Activities in Patients with Coronary Artery Disease: A Randomized, Placebo-Controlled Trial », Nutrition Journal 13 (2014): 79,.
[27] Bor-Jen Lee et al., « Antiinflammatory Effects of L-Carnitine Supplementation (1000 Mg/d) in Coronary Artery Disease Patients », Nutrition (Burbank, Los Angeles County, Calif.) 31, no 3 (mars 2015): 475-79,
[28] La prise d’inhibiteurs de l’HMG-CoA réductase comme la pravastatine, la simvastatine, ou la lovastatine, par des patients sujets à l’hypercholestérolémie (pour réduire la synthèse de cholestérol), entraîne une baisse de la synthèse de coenzyme Q10 qui provoque une diminution d’environ 50 % de sa concentration plasmatique. Source : Berthold HK, Naini A, Di Mauro S, Hallikainen M, Gylling H, Krone W, Gouni-Berthold I. Effect of ezetimibe and/or simvastatin on coenzyme Q10 levels in plasma: a randomised trial. Drug Saf. 2006;29(8):703-12.
[29] Pétition du Dr Whitaker, déposée à la FDA le 24 novembre 2002.[30] Catarina M. Quinzii, Salvatore DiMauro, et Michio Hirano, « Human coenzyme Q10 deficiency », Neurochemical research 32, no 4-5 (2007): 723-27.
[31] DiNicolantonio et al., « L-Carnitine in the Secondary Prevention of Cardiovascular Disease ».
[32] Adarsh Kumar et al., « Effect of Carni Q-Gel (ubiquinol and Carnitine) on Cytokines in Patients with Heart Failure in the Tishcon Study », Acta Cardiologica 62, no 4 (août 2007): 349-54.
[33] Zeb et al., « Aged Garlic Extract and Coenzyme Q10 Have Favorable Effect on Inflammatory Markers and Coronary Atherosclerosis Progression ».
Insuffisance cardiaque : prenez les conseils de votre médecin avec un grain de sel L’insuffisance cardiaque est un grave pr...
Un exercice de respiration de 5 minutes fait baisser la tension artérielle (plus que les médicaments) En France, 30% des ad...
Qui n’a pas encore pris sa vitamine D ?! Il y a un mois, je m’excusais de vous parler encore de la vitamine D contre le Covi...
Merciu Mr DUPUY pour vos excellents conseils qui nous sont profitables, Que DIEU vous garde ! Henri et Josette
Bonjour. Votre lettre est pour nous hypertendus (taux élevé de cholestérol)un bréviaire. Vos conseils seront toujours les bienvenus. Merci infiniment. Du courage du bénévolat.
Signé :Bouré Diouf,Sénégal
Merci beaucoup mon Ami Jean Marc. A la prochaine.
quand on est sous traitement valsartan peut-on y associé l’ail
peut-il y avoir incompatibilité
Bien à vous
je suis hypertendue et sous traitement (Valsartan ) je viens de lire votre article, j’aimerais savoir ou trouver les deux compléments que vous conseiller pour protéger le coeur
ou puis-je trouver : La Cartinine et La CoQ10
merci pour vos différents partages.
C’est disponible en pharmacie
Vous conseillez l’ail pour les maladies cardiovasculaires,est ce bien compatibles avec les traitements anti coagulant,je crois qu’il y a incompatibilité : expliquez moi alors le rôle de fluidifiant…
Merci de votre.reponse