On pouvait imaginer que les autorités avaient gagné la bataille de la communication autour du Covid.
Sans la moindre preuve que leurs mesures avaient réduit le nombre de morts, sans aucun signe d’ailleurs que le Covid soit vaincu, ni sur le point de l’être, on allait passer au sujet d’actualité suivant, et oublier ainsi les questions gênantes, comme de savoir par exemple si oui ou non il avait été bénéfique de confiner la population, d’imposer le masque aux écoliers, de vacciner la population avec des vaccins en phase expérimentale.
Je m’attendais, donc, à ne plus voir aucune trace dans les médias d’une quelconque controverse sur ces sujets.
Mais voici que, le 16 mai, je tombe par hasard sur un gros reportage sur France 3, donc la télévision officielle, intitulé “Vaccin anti-Covid : la descente aux enfers d’Éloïse”.[1]
Éberlué, je découvre un reportage en tout point semblable aux témoignages que je ne lisais, jusqu’à présent, que sur les réseaux “interdits” que je fréquente par ailleurs… Le journaliste ne mâche aucun de ses mots et fait une description effrayante de la descente aux enfers d’Eloïse suite au vaccin :
“ A partir de là, et en quelques semaines, la vie d’Éloïse bascule. Une cascade de pathologies importantes s’abat sur elle. Dès la fin de l’été, le 23 août 2021, Éloïse contracte une pyélonéphrite aiguë – une infection bactérienne du rein. Elle la traite avec des antibiotiques, puis retourne travailler. En septembre 2021, elle finit par faire un malaise sur son lieu de travail. C’est là que le médecin de la cour d’appel de Paris lui détecte une arythmie cardiaque. “Je ne l’ai, à demi-mot, pas prise au sérieux. J’en avais même rigolé alors. Je sortais de ma pyélonéphrite aigüe et là, un problème au cœur”, indique-t-elle.
Dans les semaines qui suivent, Éloïse développe des phlébectomies des veines profondes dans les jambes. “A cause de la souffrance de mes jambes, mon médecin m’a envoyé faire un doppler. En voyant les résultats, on s’est rendu compte que j’étais en incontinence totale. Comme une personne qui atteint les cent ans”, dit-elle. Éloïse subit deux opérations chirurgicales sous anesthésie générale les 5 et 19 novembre 2021.
Elle continue toutefois à enchaîner les malaises, les essoufflements, et à avoir des oppressions au niveau de la poitrine. On lui diagnostique une myocardite le 1er mars 2022. “Elle a atrophié une partie de mon cœur”, dit-elle. S’ajoutent à cela une grande fatigue, des problèmes neurologiques, “une vingtaine de malaises, des maux de têtes, des pertes de mémoire des mécanismes de la vie quotidienne”, nous dit-elle. Son cycle menstruel est aussi affecté : absence de règles depuis onze mois.
(…)
Cette avalanche de pathologies entraîne une avalanche de traitements à suivre, amenant donc des frais financiers de plus en plus importants. Et pour cette mère divorcée, ce n’est pas facile tous les jours. “J’en suis pour l’instant à 8000 euros dépensés en frais médicaux, et je ne suis pas du tout en fin de parcours”, nous confie-t-elle. “J’ai une infection longue durée, reconnue récemment par la sécurité sociale”. “J’ai des abattements sur mes traitements depuis plusieurs mois maintenant, et quand on est seule avec un enfant et un crédit immobilier”, dit-elle.”
Surprise des surprises, le journaliste relaie le compte Instagram du comité créé par Eloïse sur Instagram, recensant plus de 500 témoignages similaires au sien !
Je ne savais pas que penser de cette anomalie, dans un paysage médiatique habituellement si parfaitement verrouillé.
Mais voilà que je tombe, quelques jours plus tard, toujours sur une chaîne d’information publique (France Bleu), sur l’histoire stupéfiante d’un père de famille assigné en justice pour avoir écrit trois mails à l’enseignante de son enfant de 7 ans, la priant de ne pas lui faire porter le masque (l’enfant avait une contre-indication médicale).
Cette fois encore, l’article est manifestement en défense de ce père de famille, nullement décrit, ainsi que c’est habituellement le cas, comme un extrémiste, un fou, un illuminé.[2]
Et à peine ai-je terminé que je tombe sur encore un autre article, cette fois sur un site très intellectuel (actualitte.com, site de critique littéraire), intitulé : “Les effets boomerang du vaccin anti-Covid”, où un auteur de roman raconte l’enfer qu’il vit depuis qu’il s’est fait vacciner.[3]
Extrait :
“Je me suis donc fait injecter ce fameux vaccin en mai 2021, made in Pfizer. Deux doses espacées sur trois semaines d’ARNm. Hormis une petite douleur à l’épaule la première fois, tout s’est passé comme sur des roulettes. « Tu vois, m’a dit toute souriante mon amie de l’époque, il n’y avait pas de quoi en faire toute une histoire. »
En fait si. L’histoire a commencé à ce moment-là.
D’abord avec l’apparition de légères paresthésies aux mains. J’avais du mal avec l’index de ma main droite, par exemple pour couper un morceau de viande avec mon couteau. Je n’y ai pas trop prêté attention jusqu’à ce que les douleurs s’étendent aux doigts des deux mains, assorties de sensations électriques, notamment au niveau de la pulpe lorsque je devais écrire sur mon smartphone. Peu à peu, il m’est devenu difficile de saisir, de tirer, de pousser des objets, tandis que j’observais une atrophie modérée des muscles de mes mains. La peau, elle non plus n’était pas en reste : hypersensible au frottement, elle s’est mise à rougir et faire mal pour tout et n’importe quoi. Comme si je n’avais plus de « couche » de protection, les cartilages et ligaments mis à nu. C’est à partir de là que j’ai dû porter des gants pour conduire ou laver les cheveux de mon fils. Aujourd’hui, ça ne suffit même plus et je dois endurer pendant deux jours des sensations de brûlure sur mes paumes que seul le contact avec l’eau froide peut soulager.
Puis les pieds sont entrés dans la partie. Avec le même genre de paresthésies, de sensation de brûlure, de tensions et de douleurs qui, avec le temps, m’ont rendu difficile la station debout statique. J’ai noté là aussi une atrophie légère des muscles, au point qu’il m’arrive de perdre l’équilibre. Le problème s’est étendu aux chevilles, qui se font douloureuses quand je suis emmené à marcher plus d’une heure, avec la crainte toujours présente de m’en fouler une : mon pied droit « glisse » parfois sur le côté, chose qui n’arrivait jamais auparavant.
J’ai remarqué également que ma peau marquait longtemps et profondément. Elle rougit très vite, parfois jusqu’à la douleur, simplement en étant appuyée sur un support quelconque. Une manche de pull contre ma main, mon PC appuyé sur les cuisses, mon téléphone en main peuvent me laisser des traces profondes, parfois comiques, un peu comme si ma peau s’était transformée en pâte à modeler. Ces marques finissent par disparaître au bout de trente minutes à une heure, sans laisser d’hématome. Je ne quitte presque plus mes chaussettes, car la chair de mes pieds supporte difficilement le contact nu du sol. Même d’un vulgaire tapis. L’été dernier, j’ai dû mettre des chaussures pour marcher sur le sable. Moi qui adorais plonger mes pieds dans le sable chaud et courir le long de la plage, je reste désormais assis sur ma serviette à regarder mon fils jouer jusqu’à temps de devoir repartir.”
Je vous invite à lire ces trois articles en entier, ils sont en accès libres et gratuits si vous cliquez en bas de mon message sur les références.
Pour moi, c’est le signe clair qu’il se passe quelque chose.
Comme si la révolte qui gronde ne pouvait plus être totalement passée sous silence.
Comme si la manipulation avait été tellement grosse, que plus personne n’y croit, et qu’il devient impossible aux médias de continuer à faire “comme si”.
Comme si le mur du silence, et de la honte, était, enfin, en train de se fendiller.
Je suis peut-être trop optimiste.
Mais croyez-moi, je reste en veille sur ce dossier explosif.
Restez à l’écoute.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
Sources:
Sources:
[3] https://actualitte.com/article/106136/humeurs/vaccin-anti-covid-les-effets-boomerang
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