Madame, Monsieur,
Le 4 juillet 2017, le Premier Ministre Edouard Philippe a annoncé devant le Congrès réuni à Versailles qu’il allait rendre obligatoires 11 vaccins pour les nouveaux-nés, contre trois aujourd’hui.
Le 31 août, malgré 2 mois d’une mobilisation populaire sans précédent, la ministre de la Santé a confirmé que cette obligation interviendrait au 1er janvier 2018.
En comptant les rappels, cette obligation vaccinale représentera 25 à 40 doses sur des défenses naturelles immatures (avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé).
Chers amis, chers patients, parents ou grands-parents, ils n’ont pas le droit de vous imposer par la loi un acte médical dont ils ne maîtrisent pas les risques !
Ces vaccins sont chargés d’adjuvants, aluminium, squalène, formaldéhyde, antibiotiques. Injectés dans le corps des nourrissons, ces substances sont suspectées d’avoir parfois des effets indésirables à moyen ou à long terme.
C’est bien simple : rien n’est prévu. Mais ce n’est pas eux qui se retrouveront en chaise roulante ou sur un lit d’hôpital en cas d’accident !!!
Mais ils ne s’arrêteront que si nous leur opposons un barrage de millions de signatures contre ce projet. Signez d’urgence la nouvelle pétition ici :
Le débat ne respecte pas l’indépendance. On sait que :
À peine élus, la première mesure de santé est de généraliser l’obligation vaccinale. C’est trop gros, c’est trop ÉNORME.
Ne vous laissez pas faire. Signez et faites signer la grande pétition d’urgence !!!
La Ministre de la Santé contourne la décision du Conseil d’Etat du 8 février 2017.
Cette décision demandait le retour dans les pharmacies du seul vaccin obligatoire, le DT-P (diphtérie, tétanos, polio) sans qu’il ne soit associé à d’autres vaccins facultatifs.
Rendre tous les vaccins obligatoires est frontalement contraire à la volonté de la majorité des Français. La précédente ministre de la Santé Marisol Touraine, qui avait affirmé « la vaccination, ça ne se discute pas », n’a pas été réélue. Pas plus que la majorité du précédent quinquennat qui refusait le débat sur la vaccination.
Rappelons que plus de 1 100 000 personnes ont signé la pétition pour le retour du DT-P sans aluminium !
Notre grand espoir était que le nouveau Président Emmanuel Macron annonçait vouloir une société plus libre, plus ouverte.
Il a dit ça pour le droit du travail. Il ne peut pas faire le contraire pour la santé.
N’oublions pas la présence dans son gouvernement de Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire. Une telle équipe peut-elle opter pour la force ?
C’est de l’argent qui tombe directement dans la poche des laboratoires pharmaceutiques !
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.
Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum.
Il faut faire barrage démocratique !!!!
Agissez vite ! Il faut les empêcher de faire voter cette loi en plein été !
Ce sont des élections démocratiques qui ont porté Emmanuel Macron et son gouvernement au pouvoir. Ne les laissons pas prendre des décisions anti-démocratiques qui portent atteinte à notre droit de liberté.
C’est l’urgence absolue. Et les associations doivent :
Nous sommes démunis face au lobby pharmaceutique qui finance, à coup de millions, des « experts ».
Mais nous avons la solidarité, la force du nombre, l’union de millions de citoyens qui défendent l’intérêt général et la santé de leurs enfants.
C’est le combat de David contre Goliath. Mais en nous unissant, nous pouvons renverser des montagnes !!!!
Cela ne demande rien d’autre de votre part que d’ajouter votre nom à la liste de protestation,
Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.
C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles, les garderies et toutes les collectivités !
Un grand merci,
Jean-Marc Dupuis